UBIFRANCE a réalisé il y a peu, cette étude intitulée : « Capacité concurrentielle des filières fruits, légumes et pomme de terre en Algérie, opportunités offertes aux opérateurs français ». Elle est disponible à la vente en France depuis septembre 2007.
Dans sa mission d’information commerciale sur les marchés, OPTIMEXPORT se charge de centraliser les commandes de cet ouvrage en Algérie et de mettre en place une façon économique de procurer ce document aux entreprises algériennes intéressées.
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Il s’agit à l’origine, d’une étude pour les entreprises françaises d’abord réalisée pour les aider à construire leur stratégie de partenariat en Algérie.
Il s’avère que cette étude est aussi un document de référence pour les exportateurs algériens de la filière « fruits et légumes frais » à consulter avant de s’engager dans toute démarche d’exportation.
Elle dresse un état très objectif de la situation.
Il est rare de trouver dans les réalisations d’UBIFRANCE un tel travail documentaire capable d’intéresser et de convenir aux deux ailes de « l’acte d’exportation ».
Anne BERNARD, chargée d’études internationales à UBIFRANCE a réalisé cette prouesse !
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Feuilletez le sommaire et quelques pages de l’étude (PDF) en cliquant ici !
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Retrouvez dans la suite de ce billet l’édito qu’elle m’a adressé pour convaincre les opérateurs algériens de se procurer, via OPTIMEXPORT, ce précieux document.
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L’Algérie est loin de figurer au premier rang des pays méditerranéens actifs en matière d’échanges de fruits et légumes frais. Mais le vif intérêt que portent les opérateurs étrangers à l’Algérie, tant en termes de «sourcing» qu’en termes de marché, serait-il le signe avant-coureur du renouveau de cette filière ?
Durant les « années noires », l’économie de rente pétrolière avait exclu l’agriculture des priorités d’investissements.
Le réveil des filières horticoles algériennes est actuellement perceptible et des investisseurs algériens s’y engagent, aussi bien dans le secteur de l’arboriculture fruitière que dans celui du maraîchage ou de la filière pomme de terre.
Les professionnels algériens de la filière envisagent désormais d’exporter. Ils misent sur un indéniable potentiel de production d’une large gamme de fruits et légumes de qualité.
Si les filières algériennes des fruits et légumes et de la pomme de terre restent encore sinistrées, elles vont devoir impérativement combler un retard considérable dans tous les domaines.
Les opérateurs français devraient pouvoir contribuer au renouveau de l’horticulture algérienne par des partenariats judicieux.
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Anne BERNARD, chargée d’études internationales à UBIFRANCE
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